Mission commandoIntervention n°1 - les aléas de la chance (ou interprétation de vos résultats aux dés pour aider les prochains)
Jarod : dé non → Pas de chance, tu déclenches l’alarme en arrivant au sous-sol visé. Cael : non → Tu n’arrives pas à dormir et le bruit lointain d’une alarme te crée une crise d’angoisse. Sean : non → Perturbé par la personne qui toque à la porte de ta camionnette (Isis ou Lexie, au choix) tu ne peux pas répondre à Kassandra. June : oui → Tu es assez discrète pour ne pas être repérée par Isis et tu observes distinctement ce qui se passe, tout se passe bien pour toi. Kassandra : non → Tu as fait trop de bruit dans le conduit ce qui attire l’attention d’une certaine élève de l’Institut (Mary) qui va commencer à fouiner. Saoirse : non → l’alarme qui se déclenche te sort de ses pensées et observations sur l'extérieur. Que vas-tu faire ?
Consigne: les joueurs restants à poster pour ce tour, lancez aussi votre dé "oui/non", et tenez compte de ce qui s'est passé avant. Une nouvelle intervention vous indiquera le début du 2e tour Indication: il faut toujours que quelqu'un aille toquer à la porte de la camionnette de Sean ^^
Je changerai les gifs plus tard par contre... Et désolée si c'est court mais je ne savais pas quoi écrire pour ce début de rp. j'espère que cela ira malgré tout.
Event N°1
Mission Commando
Mon dieu que j'en ai marre de ces révisions ! Je passe tout mon temps à ça et il fait bien trop chaud !!! J'ai besoin de prendre l'air et de me dégourdir les jambes sinon je vais finir par devenir complètement folle...
C'est décidé je vais sortir. Mais avant ça je change de tenue, optant pour quelque chose de plus confortable c'est à dire une petite robe légère bleue nuit. Une fois habillée j'attrape mon sac et quitte l'internat. Direction... N'importe où. Je laisse mes pas me guider et trouve une épicerie ouverte la nuit. J'entre et prends une boisson fraiche ainsi qu'une glace. La boisson trouve rapidement sa place dans mon sac et je me met à manger ma friandise glacée au goût cola. Cela me fait un bien fou !
Je continue ma marche et au bout de quelques minutes je vois une camionnette à l'arrêt. Elle l'est depuis un moment... Elle ne devrait pas être là. Pourquoi ai-je une sensation de malaise ? Est-ce que la personne a eu un accident ? Est-il vivant ? Est-ce normal que j'ai l'impression qu'elle n'est pas abandonnée ? Je lâche ma glace et cours jusqu'à la porte. Je m'arrête un instant pour voir si j'entends du bruit mais ma patience me fait bien trop vite défaut et je toque une première fois. Pas de réponse mais j'entends comme un bruit à l'intérieur alors je tape bien plus fort.
- Y a quelqu'un ????
Tous mes sens sont en alerte. Je suis persuadée qu'il se trame quelque chose de pas normal. Une personne pourrait avoir besoin de mon aide...
Après une longue journée de travail et d'apprentissage je me suis dit que j'allais me coucher de bonne heure mais bizarrement ce soir je n'arrive pas à m'endormir. Mon esprit tourne un peu trop... Je pense à tellement de choses... Je n'arrive pas à rester calme et me concentrer sur ma respiration pour m'endormir. Et pourtant je me force à garder les yeux fermés... Mais il fait chaud dans ce dortoir et j'ai bien l'impression qu'il y a de l'animation. D'ailleurs un bruit se fait entendre au dessus de ma tête. C'est vraiment étrange... N'y tenant plus je sors de mon lit et tend l'oreille. Le bruit se fait de nouveau entendre bien plus fort cette fois-ci. Ma curiosité prenant le dessus je me décide à quitter le dortoir et essayer de trouver la provenance des bruits étranges que j'entends. J'avance pieds nus dans les couloirs. C'est alors qu'une ombre passe devant moi. Quelqu'un a l'air de marcher discrètement comme si il ne voulait pas se faire repérer... L'ombre est plutôt grande donc cela m'étonnerait que ce soit un élève... Intriguée je me décide à la suivre. Un peu d'aventure ne me fera pas de mal. Et puis comme je suis réveillée autant m'occuper. La personne qui avance m'est inconnue et j'aime les mystères... J'arrive à voir que c'est une femme. Mais elle ne me dit rien. A chaque fois qu'elle s'arrête je m'arrête et essaie de rester tapie dans l'ombre. Je n'aimerais pas que ma mission espionnage soit écourtée si rapidement.
Asher venait de terminer sa journée de cours. Les élèves de son groupe étant appelés à réaliser un travail collectif dans une autre matière que la sienne, l'enseignant put se résoudre à partir un peu plus tôt. Comment pouvait-il rivaliser avec les autres matières, la sienne étant reléguée au rang peu glorieux du facultatif, bien que la présence des élèves soit requise. Soit ! Il en profita, sur son trajet retour, pour s'arrêter en boulangerie, prendre l'une des pâtisseries préférées de Kass. À défaut d'être satisfait de sa journée, il pourrait au moins faire plaisir à la femme qui partageait sa vie depuis plusieurs mois à présent. Il retrouva donc très rapidement la maison, délestée sans surprise de la moindre présence. Il connaissait assez bien les horaires de sa belle pour savoir qu'elle ne serait pas là d'ici une à deux bonnes heures. N'étant pas un cordon-bleu, il ne se risqua pas à de la grande cuisine, juste le basic « Merci seigneur d'avoir créé Uber Eat ! » Bien qu'il ne soit pas aisé de se rendre jusqu'ici, Ash avait ses petites habitudes en terme de livraison. Ce soir, c'était japonais.
Une heure s'écoula, il prit la direction de la salle de bains pour ce qui lui semblait être une douche salutaire. La température extérieure étant relativement chaude, il opta pour une température tiède. Trente minutes plus tard, c'est propre comme un sou neuf, qu'il réceptionna sa commande. Kass n'était quant à elle toujours pas là. Par réflexe, l'ancien militaire consulta son portable, rien toujours rien. Ca ne lui ressemblait pas d'accumuler du regard et alors qu'il s'approchait de leur ordinateur commun, il vit un bout de papier dépassé. « Ne t'inquiète pas » furent les premiers mots qu'il aperçut. Ce n'était rien et pourtant, il commença à s'imaginer le pire. Et lorsqu'il tenta de l'appeler et qu'il se rendit compte que son portable était ici, il comprit qu'il avait toutes les raisons du monde de s'inquiéter.
Il récupéra donc les clés de son pick-up et sans trop savoir pourquoi il prit la route du Centre. L'orage grondait une fois encore et le vent léger soufflait sa chaleur sur quiconque se risquait à sortir. Il opta pour une entrée autre que celle empruntée de tous. En se garant tranquillement, il laissa son regard se posait sur une camionnette garée à quelques mètres de là. Ce n'était pas commun, tout comme l'absence de Kassandra. L'inquiétude redoublant, l'ancien militaire quitta son véhicule alors qu'une jeune femme faisait son apparition à proximité. Elle lui damna le pas et s'approcha du véhicule pour venir toquer contre la vitre. Asher se redressa, il lui fallait des réponses, alors à son tour, il s'approcha de la camionnette.
WHEN WE FINALLY KISS GOODNIGHT
ALL THE WAY HOME, I'LL BE WARM aeairiel
Dernière édition par Asher Collins le Mar 6 Aoû - 23:25, édité 1 fois
La meilleure chose qui me restait à faire était d'essayer de dormir. Enroulé dans mon plaid, je tentais vainement de trouver le sommeil. Ces sous-sols bien que frais, étaient aussi très humides et donc peu confortables pour le repos. Cela dit,si les seules contraintes étaient celles ci je serais sûrement heureux de dormir. Non … a vrai dire je suis sujet aux cauchemars et autre terreurs nocturnes assez régulièrement. Revivant parfois sans cesse et durant des semaines, les exercices imposés par le centre. Après avoir fait une bonne dizaine de rotations et m'être saucissonné avec grand art, je laissais la fatigue prendre le dessus sur moi. Tout commençait bien, un endroit que j'avais imaginé suite à un livre que j'avais lu une bonne dizaine de fois. Une immense prairie, verte avec une herbe si douce qu'on aurait envie de se rouler dedans sans s'arrêter. Tout était si beau et léger que je me promenais ici et là en découvrant ce lieu parfait. Quand soudain une forme connue se dessinait en fond, grossissant petit à petit alors que mes pas ne cessent de se rapprocher de cet homme. Mon corps était devenu totalement incontrôlable et une main se posa lourdement sur mon épaule, faisant taire ainsi cette prairie pour une salle froide et sans âme. La C-104 … porte A.
Mon sommeil était délibérément agité, je me sentais hurler et bouger contre ce matelas qui grinçait si fort qu'il donnait l'impression de se briser en deux à chaque instant. Un bruit violent et strident me fit ensuite sursauter. Je ne savais pas si j'étais endormi ou non, si tout cela était une part réelle ou si mon esprit avait décidé de m'égarer encore une fois très loin de tout ça. Les mains sur les oreilles je finis par me mettre en boule, sentant des sanglots monter petit à petit, alors que mon corps tremblait de partout. C'était horrible, je ne comprenais pas ce qu'il se passait si ce n'était que je reconnaissais le bruit de l'alarme des bâtiments. Je ne savais pas la raison pour laquelle elle venait de se déclencher mais je voulais juste que tout s'arrête, que tout redevienne calme pour que je puisse souffler. Je laissais des cris se perdre dans ces couloirs sombres aux murs épais qui devaient sûrement tout étouffer, ce qui explique pourquoi personne ne vient me voir quand j'appelle.
J’étais enfin chez moi, après une journée bien chargée. Une journée fatigante , me voilà assise à la table de ma cuisine à potasser mes diverses notes à propos des deux évasions des rats de laboratoire, ce qui me pourrissait la vie depuis bien une année, date de la toute première évasion de l’histoire du Centre. Moi qui pensais que ce serait facile… je devais bien reconnaître que je ramais. Et depuis bien six mois, ils étaient deux en cavale… Comment un établissement tel que le Centre, et dirigé par mon père en plus, pouvait-il avoir fait preuve d’autant de laxisme ? Si j’étais encore à la sécurité, cela ne serait pas arrivé… Plongée dans mes pensées, une sonnerie que je n’entendais jamais me fit réagir. Je m’empressais de me saisir de mon portable et vit s’afficher à l’écran un code d’alerte… une alarme s’était déclenchée au Centre.
- Merde, non ! Pas encore !
Ni une ni deux, j’attrapais mes clés de voiture et mon neuf millimètres et me voilà embarquée dans mon cabriolet, en mode folle du volant. Heureusement, il faisait nuit, personne sur les routes. J’arrivai en moins de cinq minutes. Je fus interrompue par une grande gigue brune de la Division. Un peu trop sure d'elle, ça m'agaçait, principalement parce qu'elle me rappelait un peu quelqu'un... passons. - Vous ici... Eh bien puisque vous êtes là, rendez-vous utile.
Et sans attendre, je m’empressai d’entrer dans le bâtiment pour rejoindre le niveau du contrôle des caméras. Là, un abruti semblait ne pas comprendre, rien d’alarmant aux images. - ça s’est déclenché dans quelle salle ?!
Il me montra l’écran en question qui affichait pourtant le vide.
- Vous vous êtes sûrement fait hacker, gros malin ! Allez faire une ronde, magnez-vous le train !
De mon côté, pistolet en main, je me dirigeais vers la salle qu’il m’avait indiquée. J’étais à mille lieue de me douter de ce qui se passait réellement, mais en tout cas, il fallait que ça s’arrête.
Trust can kill you or set you free...
Dernière édition par Mlle Parker le Jeu 8 Aoû - 1:56, édité 1 fois
Une nuit plutôt calme, des rues désertes, des citoyens attablés en duo sur les terrasses des bars ; voilà le tableau auquel assiste l'agente Lov présentement en service. Pied sévèrement maîtrisé, elle respecte les limites de sécurité routière. Elle s'y applique parce que ce soir elle a succombé à un vice qu'elle pensait depuis longtemps oublié. Sa vie est si monotone, qu'elle se sent coupable d'avoir fumé un joint dans l'habitacle du véhicule de police. Seule. Une simple patrouille car son partenaire est absent. Rien d'extravagant ne rompt la normalité des soirées. Elle est presque timide de croiser son regard dans l'un des miroirs. Pas honteuse cependant. Pas une dose capable d'affaiblir sa vigilance. Elle fait partie de la loi et devrait donner l'exemple. Mais qui de nos jours, parmi ces gens qui profitent d'une soirée calme, ne se permet pas un écart de temps en temps? Elle ne juge pas les autres pour ça… mais elle pensait avoir oublié cette mauvaise habitude. Sûrement le fait de revenir dans cette ville. Comme toujours, elle tournera la page, non sans vouloir une pointe d'excitation. Ça lui a donné goût et elle ne se prive pas d’humecter ses lèvres.
Le grésillement de la radio capte aussitôt son attention, comme si c'était là le signe qu'elle attendait pour faire autre chose que de la surveillance routière. À quoi bon surveiller la vitesse des chauffeurs alors que les voitures se font terriblement rares à cette heure? Afin de déranger ce cycle infernal de l'ennuie, elle aurait - honteusement - souhaité intervenir auprès d'hommes saouls dans un bar ou aider lors d'un quelconque accident pour se sentir réellement utile. On indique simplement qu'une camionnette suspecte a été repérée à quelques lieux de là. Un appel anonyme. Une camionnette peut camouflée un tas d'histoires horribles : vendeur de drogue, terroriste, voyeur, adolescents, etc. C'était pas plus mal, au final. Elle pouvait entreprendre quelque chose pour occuper cette longue nuit au boulot. Encore un peu et ses paupières seraient tombées.
La fille, elle place sur son GPS la route nommée par la centrale téléphonique. Lisa ne se repère pas aussi bien qu'avant dans cette ville. Elle doit simplement renouer avec les vieux repères et enregistrer les nouveaux. Même lorsqu'elle vivait ici, elle n'a jamais eu le réflexe de sillonner chaque rue et chaque recoin. Lisa se contente de rouler sans allumer ses lumières d'urgence ou sa sirène. Le tout se fera discrètement - simplement pour jeter un oeil. Il arrive fréquemment qu'un agent se déplace seul pour examiner. Du moment que sa vie n'est pas menacée, elle y est autorisée. Elle sait néanmoins que si c'était plus grave, elle devrait aussitôt demander des renforts. Sa voiture est en chemin vers le centre, là où elle doit inspecter une camionnette suspecte. Mais qu'est-ce qui soulèvera davantage de questions? Le lieu où se trouve la camionnette, la camionnette elle-même ou les personnes qui entourent la camionnette comme des criminels prêts à la voler?
Les phares de la voiture de patrouille se laissent apercevoir. Par précaution, elle n'ose pas sortir immédiatement, attend de voir ce que manigancent les silhouettes entrevues sur les lieux.
Dernière édition par Lisa Lov le Sam 10 Aoû - 8:44, édité 2 fois
L’alarme s’est déclenchée au Centre à cause de Jarod. Mlle Parker a été prévenue, mais le temps qu’elle arrive, le caméléon a changé de pièce. Sean est interrompu dans ses indications par l’arrivée de Lexie qui toque avec insistance à sa camionnette. Que va-t-il faire ? Va-t-il prévenir ses amis ? June espionne sa comparse Isis qui tombe sur Mlle Parker, qui elle, fonce tête baissée dans le bâtiment mais n’a pas de chance, elle arrive trop tard dans la pièce où l’alarme s’est déclenchée. Isis l’a-t-elle suivie ou est-elle partie de son côté ? Vont-elles tomber sur Saoirse qui elle aussi a été dérangée par l’alarme ? Kassandra n’a pas pu entendre la réponse à sa question posée à Sean, du coup elle est sortie dans la mauvaise pièce et ne se rend pas compte qu’elle est désormais suivie par Mary… du moins pas tout de suite car Mary est tout aussi bruyante que celle qu’elle espionne. Mais Kassandra ne la repère pas encore et continue son exploration en grimpant à nouveau dans le conduit d’aération pour descendre plus bas. Que va faire Mary, la suivre encore ? Le pauvre Cael est toujours aux prises avec ses sombres pensées, son sommeil perturbé par tout ce bruit dont il ignore la provenance. Lisa, quant à elle est chanceuse, elle n'est pas repérée et peut continuer à observer ce qui se passe.
Consigne: • Continuez à lancer le dé oui/non, il indiquera à la fin de votre poste votre réussite ou non dans votre action. • Tenez compte de la réussite ou échec du (ou des) personnage(s) avec qui vous êtes dans votre réponse. • Nous vous proposons l'ordre de passage suivant, qui a été celui établi naturellement lors du premier tour. Essayez de le respecter. Si c'est à vous de jouer et que vous pensez ne pas pouvoir poster sous 48h, mettez un mot au MJ ou sur discord pour qu'on vous fasse passer plus tard Jarod – Cael (a déjà posté pour le tour 2) – Sean – June – Kassandra – Saoirse – Isis – Lexie – Mary – Asher – Mlle Parker - Lisa
Every city has its share of secrets
aeairiel.
Jarod Russel
Caméléon
▻ ARRIVE(E) LE : 07/01/2017
▻ LOCALISATION : Everywhere except at the Centre
▻ OREOS : 1501
▻ LOISIRS : Helping the widow and the orphan. Fill my red notebook, eat pez, oreos and discover new things.
« - Effectivement si tu es claustrophobe, l'aération n'est pas la meilleure des alternatives » tenta Jarod pour détendre l'atmosphère. Il avait encore environ une dizaine de mètres à parcourir en se mouvant le plus discrètement possible. Sean venait d'attester le changement de direction, bien que Jarod ait encore le schéma en tête, maintenant au moins, il en avait la certitude. Kassandra se fit entendre elle aussi. De toute évidence, elle était en bonne voie, un fait qui rassura Jarod qui continua donc sa progression. « - Sean, ça y est, je suis à l'intersection. À toi ! » Mais rien ne se produisit « - Sean ? » réitéra Jarod inquiet de ne plus entendre son jeune compagnon. Il scruta alors sa montre et constata à quel point le temps était amené à s'écouler plus vite en situation de crise. « - Ok Sean Ras ! Réponds dès que tu peux » À ses pieds, Jarod avait un agent d'entretien qu'il prit le temps d'observer lorsqu'il s'approcha de la grille d'aération « - Ici Jarod. À Dix heures, face à moi il y a un agent d'entretien... » il n'eut guère le temps de continuer son descriptif. En effet, l'homme, une nouvelle recrue à l'évidence, tapotait avec insistance l'un des boîtiers de sécurité, pas de première génération, mais toujours opérationnel. Si l'homme continuait à tapoter comme un forcené, nul doute qu'il activerait l'alarme, et cela, au vu du plan millimétré mise en place par les caméléons, ce n'était pas envisageable.Ni une ni deux, Jarod atteignit le sous-sol, malheureusement pour lui l'alarme retentit à ce moment. Il eut tout juste le temps de se cacher dans l'une des allées obscures d'un couloir. Tout penaud, l'agent d'entretien, mit aussitôt les voiles. « - Ici Jarod. L'agent d'entretien s'est lâché sur le boîtier. J'ai au bas mot une vingtaine de secondes pour désamorcer le système. » Il vit la caméra tournante et eut tout juste le temps de se planquer pour l'éviter. « - Ok tant pis je change d'endroit » Il retrouva les conduits d'aération et qu'elle ne fut pas sa surprise en y remarquant la présence d'un paquet de crackers jack. Le sourire aux lèvres, il s'en approcha pour le prendre en main. Il remarqua alors quelques confiseries disposées telles les miettes du petit poussé. Allait-il les suivre, ou reprendre un autre chemin ?
You are my greatest weakness.
Les amours impossibles sont ceux qui durent le plus longtemps, qui laissent les souvenirs les plus durables, qui blessent le plus profondément, et qui nous marquent à jamais. aeairiel
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Lun 5 Aoû - 13:10
