-Elle adore les animaux considérer comme bizarre ou effrayant et encore plus s'il sont venimeux
-Sa seule véritable peur est de voir les poisons disparaître du monde ou qu'elle n'y ait plus accès de manière définitive
-Elle possède une capacité innée de guérison accéléré et peut également traiter les poisons diverses plus facilement que la plupart des êtres vivants.
-Elle demeure vierge par manque de confiance envers un partenaire potentielle, bien qu'elle n'attache aucune importance à ce détail
-Lors de ses missions ou elle doit user de ses charmes la cible est toujours abattu avant qu'elle n'ait à conclure
-Il ne faut pas se fier à son visage ou au ressenti qu'elle renvoi mais à ses mots
-Elle parles plusieurs langues, certaines liés au pays ou elle voyage souvent, d'autre partiellement car apprise sur le tas ou encore car la division ne lui a pas laisser le choix. Exception faites du latin et du grec qu'elle a tenu à apprendre
-Lorsqu'elle ne peux tuer sa cible avec du poison, ce qu'elle préfère c'est utiliser un fusil de sniper quand elle peut se le permettre.
-Elle a un petit côté voyeuse, ayant du mal à ressentir certaines chose. Elle aime décrypter les visages et surtout briser les sentiments heureux dont elle à toujours été privée ou presque.
-Elle déteste le silence et place toujours un instrument/dispositif bruyant devant les entrées potentielles du lieu où elle se trouve pour parvenir à dormir.
-Elle ne sait pas ce que représente l'amour véritable, pour elle ce n'est qu'un conte de fée.
-Certain de ses cosmétiques contiennent des poisons auxquelles elle est immunisée, mais qui peuvent paralyser une personne en entrant en contact avec ses fluides.
-La division n'a jamais eu peur de la perdre au vu de sa recherche constante de leur plaire et de subir plus d'expérience pour renforcer sa tolérance aux poisons. Elle leur est dévouer corps et âme, n'imagine même pas sa vie sans eux.
-Elle possède une endurance assez élevé et encaisse bien les coups ou la douleur.
-Son surnom lors des missions est Viper

Si vous appréciez les histoires qui finissent bien vous feriez mieux de vous abstenir de lire celle ci. Non seulement elle ne commence pas bien, mais le milieu est également à vous arracher le cœur. Fuyez, tant qu'il est encore temps ou vous regretterez de ne pas pouvoir sauver la protagoniste lorsqu'elle perdra pieds.


Plus ou moins 28 ans plus tôt naissait une enfant sur le sol froid et dure d'une maison abandonnée. La mère à moitié dans les vapes et complètement alcoolisé ne semblait pas se soucier des pleurs du nourrisson qui emplissait ces murs vides et désolés. Pourtant, au sein de la battisse ou plutôt du squat, deux autres enfants vinrent récupérer le nourrisson comme pour l'éloigner de la génitrice instable. L’aînée tentait de calmer leur mère tandis que la sœur du milieu était partie chercher de quoi se nourrir. Si déjà avec son frère ils ne parvenaient pas à manger à leur faim, alors avec une bouche en plus, elle ne savait pas ce que ferait leur mère.

Déambulant dans les rues, elle mendiait, piquait parfois nourriture ou argent. Finalement, elle rentra et laissa ce qu'elle avait trouvé à son frère sa part en moins. En pleine nuit, les enfants restèrent ensemble collé les uns aux autres afin de se réchauffer du mieux qu'il pouvait. Après avoir repris des forces et dès que les premières lueurs du jour percèrent le plus grand pris Rosalys et l'emporta dehors à la recherche d'un adulte prêt à l'aider. Le nourrisson ne cessait de pleurer à tue tête, affamé et fiévreux, il avait besoin de soins d'urgence. Heureusement, intercepter par la police les enfants furent séparés et arracher de leur foyer si on peut considérer qu'il en ait eut un et elle fut sauvé in extrémis.

Il est en général facile de trouver un foyer à un nourrisson surtout lorsqu'il vient de naître, mais faut il encore que ce dernier ait un peu de chance. Une qualité qui semble t-il faisait défaut à ce bébé au moins au début de sa vie. Malgré tout, miraculé les médecins qui le sauvèrent le confièrent ensuite avec l'accord des service sociaux à une famille riche qui semblait collectionner les enfants bien qu'il ne manquait visiblement de rien. Des filles principalement recueillit comme elle alors qu'elle n'avait plus d'autre famille.

Malgré l’opulence dans laquelle sa nouvelle famille semblait vivre, un règlement stricte était appliquer et les punitions qui pleuvait si on le respectait pas dissuadait très vitre de sortir des clous. Leur mère adoptive à peine plus âgée que les aînés obéissait au doigts et à l’œil au dirigeant de la famille sans jamais le contredire. Elle avait conscience qu'elle était remplaçable et qu'elle avait tout à perdre. Quand aux deux seuls garçons de la fratrie comptant plus d'une dizaine d'enfant, les règles était différente pour eux et un faux pas pouvait signifier la mort. Oui, vous avez bien lu. Aucun amour ne réunissait cette famille, seul comptait le prestige que pouvait apporter les garçon au foyer et la reproduction d'héritier potentielle pour les filles.


Je vous le dis, ici vous avez une idée de l’horreur qui se déroula en réfléchissant bien, mais si votre cœur est sensible il est temps de prendre la porte et d'arrêter là où il n'y a que des suppositions. Je tiens à m'excuser par avance si vous continuer votre chemin aux côtés de la pauvre enfant, mais dès lors ou vous lirez le prochain paragraphe du récit de son histoire passé peut être comprendrez vous à quel moment son esprit s'est brisé.


Au sein de la demeure les enfants était classé par catégorie ; les plus jeunes poussé à un développement cognitif en général en dessous des 5 ans, ceux qui avait un apprentissage plus complet jusqu'au premier signe de puberté  et les derniers...Les garçon devaient exceller en tout et savoir se tenir, il devait être des joyaux resplendissant sans le moindre défaut ou rejoindre le rang des serviteurs si il tenait à survivre le cas échéant. Les filles devenaient quand à elle des incubateurs sur pieds, prête à assouvir le besoin pervers du soit disant père de famille. Bien sûr les première fois  plus d'une s'était rebellé, mais elle avait toute finit par comprendre qu'il valait mieux pour elle se laisser faire, que ça se passerait mieux en plus d'aller plus vite.

Certain se demanderait peut être que faisait les autorités ? Pourquoi n'était il pas intervenu dans le cas de cette famille des plus étrange. La raison est simple, l'argent, le manque de preuve ou la thèse probable de l'accident. En effet, au vue du nombre d'enfants il était rare qu'ils fassent des apparitions publique avec toute la famille, ce qui permettait de cacher ceux qui avait reçu une correction un certain temps. De même pour les plus jeune qui en un sens avait eut de la chance de tomber enceinte leur laissant un répit malgré la situation. Dans le lot, seul un ou deux des enfants partageait le même sang, mais cela n’arrêtait en rien la perversion idéaliste du père.

Dans certain cas, il abusait même des enfants plus jeunes si elles étaient suffisamment jolie à ses yeux. Plus d'une fois il avait passé du temps avec Rosalys qui fut une petite poupée à l'époque se retenant d'aller au bout. Elle avait vite compris qu'être docile et montrer à ce monstre ce qu'il voulait voir lui assurerait un minimum de tranquillité. Elle était plutôt douer malgré son jeune âge et parlait presque deux langues couramment. Mais le portrait de la petite fille à papa ne pouvait durer lorsqu'elle le sentait de plus en plus proche de céder et de rompre la pseudo quiétude dans sa courte vie.

Les pleurs, les coups, les viols et même l'un des meurtres d'un contrevenant à l'ordre de leur maison. Elle en avait trop vu pour son jeune âge et pourtant, devant le grand Richard Stones elle se tenait sans flancher. Elle même avait déjà été frapper et savait que temps qu'il ne voyait pas ouvertement ses traversés des lignes il ne disait rien et ne la punissait pas. Enfin, c'était ce qu'elle croyait. Pour chaque sortie sans permission, chaque règles brisés il se vengeait sur ses sœurs d'une manière ou d'une autre. Chaque fois que frustrer de voir qu'elle n'était pas prête et qu'il la briserait, une autre fille était brisée à la place.

Pourtant, la plupart des filles la plaignait, elle si surveillé, ausculter sous toute les coutures malgré son âge et surtout qui deviendrait sans doute le nouveau jouet favoris du père une fois qu'il y aurait goûter. Enfin c'est ce qui était prévue au départ. L'un de ses frères de fortune avait entendu que pour fêter son anniversaire il ferait d'elle une femme, qu'elle en valait la peine. Lui qui avait du mal avec ce système et qui avait prévue de s'enfuir avait décider d'aider la fillette avant de partir sans se retourner. Il avait profiter d'une des demandes du père d'éloigner la fillette pour les préparations de la fête. Les autres devaient jouer avec elle et l'occuper pour qu'elle ne rentre pas trop tôt.


En effet, tous n'attendaient en général qu'une journée dans l'année puisque l'on pouvait demander une chose de son choix sans refus. Aussi extravagant que soit les demandes, il ne refusait jamais tant que cela ne nuisait pas à la sécurité générale. Pourtant, ce jours marqua la fin de bien des choses.

Il est encore temps de ne pas aller au bout, de ne pas voir ce qu'elle est devenue. Arrêtez votre lecture et souhaitez lui simplement le meilleur.

***

À son réveil elle était allongé sur un lit dans une pièce minimaliste, bon nombre de machine étaient relié à son corps engourdit et trempé. Autour d'elle, des inconnus dont elle ne comprenait qu'une partie de leur langage et surtout sa voix brisé. Elle avait beau remuer des lèvres et tenter d’interagir avec eux aucun son, juste une douleur sourde au niveau de la gorge. Son corps semblait peser une tonne et les mouvements de sa mâchoire était quasiment impossible.

Quelques flashs lui revinrent en mémoire, le soit disant père lui déboîtant la mâchoire pour y insérer son attribut phallique, faisant des va et vient étouffant à moitié celle qui respirait déjà difficilement. Il aurait fait pire si le corps soumis au venin ne se crispait pas petit à petit, pourtant, loin de s'en aller aussi facilement et la roua de coups et la recouvrit de son sperme avant de l'abandonner à son sort, dans le noir.  Finalement, une femme à l'air assez stricte rentra dans la pièce et parvint à la calmer assez facilement, sans la barrière de la langue, les choses étaient plus facile.

Pendant un mois elle resta allonger sans pouvoir se mouvoir ou parler, seul son regard balayait l'endroit tandis qu'elle décryptait ce qu'il voulait faire d'elle ou du moins tentait. Lorsqu'ils jugèrent finalement qu'elle s'était suffisamment remise de la morsure du serpent et des sévices infligés pendant sa paralysie ils commencèrent à la tester de différente manière. La punissant et la corrigeant à chaque fois qu'elle bloquait. Après tout elle avait certaine facilité et seul le mental ne suivait pas pour l'instant, de même elle semblait plus impitoyable avec les hommes qu'avec les femmes.

Les années passèrent dans un rythme effréné, entre renforcement physique, test de résistance à divers substances nocives, apprentissage mondain et intellectuel. Pourtant, au lieu de vouloir fuir, de vouloir que cela s'arrête elle semblait apprécier de plus en plus sa vie au sein de la division qu'elle à rejoins dès sa plus tendre enfance. Elle a frôlé la mort plus d'une fois, pourtant elle en redemande toujours plus.  Elle est complètement accroc à la sensation du poison dans son corps et aux réaction qui s'en suivent. Quand à ses missions, elle à l'impression de se sentir en vie, de punir ceux qui le mérite et surtout cela la rapproche d'un graal promis par la division au départ pour la motiver.

D'ailleurs si elle à conscience que l'un de ses ''frères'' travaille pour le centre et qu'il l'a amener dans ce lieux qui l'a sauver et élever à un autre niveau, il ne se sont jamais revu ou du moins même si c'était le cas leur identité changé et les années les ont tout deux changer. Elle à peu de lien sincère et la personne dont elle est la plus proche demeure cette femme qui la guider à son arrivé, peut être est ce une figure maternel malgré elle et pourtant, Rosalys à conscience que si elle venait à merder l'autre n'hésiterais pas à appuyer sur la détente.

Mais comment lui en vouloir ? Être celui ou celle qui tient l'arme et avoir une vie qui dépend de votre bon vouloir est presque aussi jouissif que de survivre au bord du gouffre...

Oui, vous l'aurez compris, notre demoiselle à finalement accepter la part de noirceur en elle. Pire encore, si elle voit l'ombre en chaque personne, la lumière est presque invisible en contrepartie.