Mon mari me disait tout le temps que j’étais la plus belle femme du monde à ses yeux. Je me trouvais pourtant banale et mon corps avait été un peu abîmer avec mes deux grossesses, mais ça n’avait jamais changé l’image qu’il avait de moi. Pourtant, je vieillissais et je me trouvais moins désirable. Mais tout se passait dans ma tête. Je le regardais avec amour. Je n’avais même pas le temps de répondre qu’il me retira mon haut et fit voler mon soutient gorge à travers la pièce. J’éclatais de rire, j’aimais tellement quand Aaron agissait de cette manière.

« Ce programme me convient tout à fait Monsieur Watson. »

Je lui retirai sa chemise et je caressais doucement son torse. Il était vraiment bien fait, il avait continuer de faire du sport et maintenant qu’il était pompier, je savais qu’il ne cesserait pas d’en faire, ce qui me convenait tout à fait.Je fermais les yeux en souriant et je le laissais m’embrasser sur toutes les parties qu’il voulait. Je lui appartenais corps et âme. Il connaissait mon corps par coeur. J’ouvrais les yeux et je lui faisais un regard en mode : des capotes ? Tu es sérieux ?

Je lui donnais une petite tape sur l’épaule.De toute façon, il avait eu une vasectomie donc ça ne pouvait pas arriver. Il était hors de question de repartir dans le cercle infernal d’avoir un bébé. On avait clairement plus l’âge pour ça. Je me redressais un peu en m’appuyant sur mes coudes et je secouais négativement la tête en lui faisant mon plus beau sourire. Je lui caressais la joue et j’allais l’embrasser. Je l’attirais vers moi en me rallongeant doucement sur le lit. Tout en l’embrassant, je détachais sa ceinture et j’ouvrais son pantalon.

« Je ne vais même pas prendre le temps de te répondre. »

Je continuais de le déshabiller et j’allais ensuite le caresser. Je m’embrassais et je lui caressais la nuque de ma main libre. J’aimais quand j’avais le contrôle sur lui. Mon mari m’appartenait tout comme je lui appartenais et il avait eu une excellente idée de rattraper le temps perdu. J’adorai ce genre de moment et Aaron avait raison, on devait prendre le temps d’entretenir la flamme qui faisait vivre notre couple et qui avait faillit s’éteindre lors de la disparition de notre fille.

« Je t’aime Aaron. »

Quand au chien, il était toujours là, couché dans son panier qui se trouvait dans notre chambre.