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 "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.”

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Kassandra Watson
Kassandra Watson
Caméléon
ARRIVE(E) LE : 03/01/2017
LOCALISATION : Quelque part à Blue Cove, avec Asher
OREOS : 2028
LOISIRS : Faire du roller, manger de la glace et des frites, faire du roller, apprendre de nouvelles choses, savourer sa liberté et oh faire du roller

"“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Empty
Message# Sujet: "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.”   "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Icon_minitime1Jeu 9 Mar - 19:29

Kassandra...
Age : 31 ans
Date & lieu de naissance : Un 5 octobre à Denver, dans le Colorado

Métier (ou aptitudes) : Mémoire photographique – capacité d’apprentissage ultrarapide – génie scientifique
Statut : En couple (officieusement)
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Groupe : Génie

Avatar : Lana Parrilla
Crédits : Internet.

Caractère & Physique
Petite, Kassandra était une enfant curieuse de tout et très vive d’esprit. Cela n’a pas changé en grandissant, à ce détail près qu’elle ne bénéficia plus des libertés que lui octroyaient ses parents. Ainsi, ses yeux curieux d’enfants qui prenaient tant plaisir à découvrir les mystères et secrets qui l’entouraient furent bien vite mis à contribution pour travailler sans relâche sur des buts illusoirement positifs. Malgré son âge, n’ayant pas grandi comme les autres enfants au sein d’une communauté d’enfants de son âge, Kassie reste assez naïve, bien que méfiante vis-à-vis des personnes qui l’entourent, à savoir ceux du Centre. La petite brune est dotée d’un fort caractère qu’elle s’est vue contrainte d’adoucir. Encore aujourd’hui, elle a tendance à parler sans filtre, comme une enfant. Elle est parfois rêveuse et a tendance à être dans la lune, mais ses réflexions la rattrapent toujours, elle est sans cesse en train de cogiter. Elle est très douce et souffre beaucoup du manque d’affection qu’elle a subi au Centre.
Anecdotes
A l’âge de 3 ans, Kassie connaissait déjà toutes les tables de multiplications. A 5 ans, les os du corps humain n’avaient plus aucun secret pour elle. Kassie a su lire parfaitement à l’âge de 4 ans et a directement entrepris de lire le dictionnaire.
*Très attachée à son nounours qui lui manquait terriblement, après trois jours au Centre, elle s’est fabriqué un doudou avec un oreiller qu’elle a ficelé par endroits à l’aide de lacets pour lui donner plus ou moins une forme d’ourson. Elle a d’ailleurs eu du mal à l’abandonner lors de sa fuite.
*A 15 ans, lors d’une simulation un peu risquée, elle est tombée en hypothermie sévère. Stanley, son précepteur, a cru qu’elle allait y rester.
* Stanley Goodman est la seule personne en qui elle a vraiment confiance au Centre, elle le considère presque comme un père et aimerait percer l’énigme qui entoure cet homme.
*Kassie n’a que rarement rencontré les autres caméléons, et la solitude la pèse de plus en plus. Elle est angoissée la nuit et a toujours peur du noir.
*Kassandra ayant vécu quasiment toute sa vie au Centre, elle n’a jamais gouté aux sushis, aux cupcakes, et autres originalités culinaires du monde extérieur. Evidemment, bien qu’elle sache, en théorie, faire décoller une fusée, elle serait incapable de faire cuire des pâtes si personne ne lui apprend.
Histoire
« La liberté de l'homme consiste à ne jamais faire ce qu'il ne veut pas » –JJ Rousseau

Kassandra est née un 5 octobre, il y a de cela 31 ans. Elle ne se rappelle quasiment rien de sa vie avant le Centre. Juste qu’elle aimait aller à l’école, et qu’aimait encore plus ses parents et sa petite sœur de quelques mois. C’est à l’âge de 7 ans qu’elle se voit séparée de ce cocon qu’elle avait toujours connu. Deux personnes, un homme et une femme, sont venus la chercher à l’école à l’heure du déjeuner -à cette époque, les sorties d’école étaient bien moins surveillées- prétextant qu’ils venaient de la part de ses parents pour l’emmener les rejoindre au muséum d’histoire naturelle, et que sa famille les attendait là-bas. La petite Kassy réclamait cette sortie depuis des semaines, elle voulait voir de ses yeux les os des dinosaures pour les comparer au squelette humain. On est naïf quand on a sept ans, la petite demoiselle ne s’était pas étonnée tout de suite de n’avoir pas entendu parler de ces personnes, soi-disant amis de ses parents. Et quand elle posa la question, la berline avait déjà démarré. En voyant les portières se verrouiller de l’intérieur sans possibilité de les rouvrir, la fillette comprit rapidement qu’on lui avait menti, et le sourire carnassier qu’affichaient les deux ravisseurs n’avait rien de rassurant. Elle demanda sans cesse durant tout le trajet où ils allaient, pourquoi ses parents n’étaient pas là, et des centaines d’autres questions qui restèrent sans réponse.
Ils arrivèrent face à un immense bâtiment qui parut colossal à la fillette qu’elle était.
« Le Centre est ta nouvelle maison. »
Cette phrase, jamais elle ne l’oublierait. Kassandra ne voulait pas d’une nouvelle maison. Ce qu’elle voulait, c’était rentrer chez elle pour retrouver ses parents et sa petite sœur en bas-âge à qui elle avait promis qu’un jour elle lui apprendrait les tables de multiplication, car oui, pour Kassy, l’école et les devoirs s’apparentaient à des jeux tant ils étaient déconcertants de facilité.

Les deux premiers jours au Centre furent sans doute parmi les pires de sa vie. Une intelligence au-delà de la norme couplée à petit caractère indépendant donna du fil à retordre aux chercheurs. Kassandra essayait, du haut de ses sept ans, de négocier, elle avançait qu’elle ne parlerait à personne et ne ferait rien pour eux tant qu’elle n’aurait pas vu sa famille. Elle piqua même des crises de colère en renversant tout ce qui se trouvait sur la table, balançant tous les crayons sur le chercheur. Celui-ci perdit patience et lui retourna une gifle du dos de la main, ce qui lui provoqua une entaille sur le côté de la lèvre supérieure. On lui présenta ensuite Mr Raines, qui lui parut être l’homme le plus terrifiant du monde, et qui finalement ne tarda pas à lui faire comprendre que si elle continuait à pleurer, il ferait de sa vie un enfer. Mais l’enfer, n’était-ce pas déjà cet endroit ? Elle comprit bien vite qu’il faudrait leur dire ce qu’ils voulaient entendre.
Le troisième jour, telle une lueur au bout du tunnel, une  nouvelle personne lui fut présentée : Stanley. Cet homme, contrairement aux autres, ne la regardait pas comme une découverte scientifique, comme un rat de laboratoire, comme un sujet de recherche. Non, pour la première fois en trois jours, Kassy vit en quelqu’un ce qui se rapprochait le plus d’une figure paternelle. Elle pouvait voir une certaine bienveillance dans ses yeux, et même de la tristesse. Beaucoup de tristesse. Il était gentil, il semblait la comprendre. Malgré tout, ce n’était pas pour autant qu’il accepta de l’emmener voir ses parents. Apparemment, la condition était que Kassandra fasse montre de ses talents intellectuels. Au bout d’une semaine, elle était capable de résoudre des équations de niveau doctorat. Stanley lui avait promis une récompense si elle y parvenait, et après y avoir travaillé d’arrache-pied, Kassy espérait vraiment du fond du cœur une visite de sa famille, tel un prisonnier au trou en attente du jour des visites. Evidemment, la récompense ne fut pas celle escomptée. Stanley lui tendit une enveloppe avec un sourire et un regard bienveillant.

-Où sont mes parents ?

Sans répondre, le chercheur se contenta de lui mettre l’enveloppe dans les mains.

- Ils t’ont écrit, regarde.

Kassy observa l’enveloppe. Pas de cachet de la poste, ni de tampon-date. Quelque chose clochait.
- Ils sont passés la déposer…  improvisa le scientifique, voyant la fillette observer l’enveloppe sous toutes les coutures.
-Ils sont venus ? Mais alors peut-être qu’ils sont encore là, je veux les voir !
- C’est trop tard…


Alors qu’il quittait la pièce, Kassandra ouvrit l’enveloppe, les larmes aux yeux, les mains tremblantes. Non, il ne fallait pas pleurer. Cette lettre s’apparentait à un message de ses parents, avec des phrases comme « on nous parle souvent de toi et de tes progrès », « nous sommes très fiers de toi », « continue comme ça », « continue de nous rendre fiers »… Bref, beaucoup d’encouragements, subliminaux comme plus clairement dits, à continuer. La fillette ne comprenait pas pourquoi, du jour au lendemain, ses parents ne daignaient plus la voir. Mais bon, ils voulaient qu’elle continue, qu’elle soit sage et obéissante, alors elle le ferait, si cela pouvait lui permettre de les revoir bientôt.

Les semaines, les mois puis les années passèrent, et si le Centre ressemblait toujours à une prison, Kassandra était néanmoins reconnaissante envers Stan d’être la figure paternelle qui lui manquait. Il avait toujours été bon avec elle, bien qu’il lui fasse souvent dépasser ses limites, pour son bien, disait-il. Elle ne comptait plus les fois où elle avait fini à l’infirmerie suite à des évanouissements à force de travailler sans dormir pendant des jours, ou les crises d’hypothermies sur des simulations dangereuses et autres incidents. Mais jamais Stanley n’était méchant, contrairement à ceux à qui elle avait été confrontée à son arrivée. Mr Raines lui faisait d’ailleurs toujours froid dans le dos.  Au fil du temps, elle en oublia son nom de famille, le Centre y avait travaillé. Mais jamais elle n’oublia son objectif : revoir ses parents et sa sœur. Et si leurs visages étaient devenus de plus en plus flous, tout comme leurs noms, elle n’en oubliait pas leur existence.

La demoiselle avait toujours été curieuse à propos de cette tristesse qu’elle voyait dans le regard de Stanley lorsqu’il posait les yeux sur elle, cela faisait partie des rares énigmes qu’elle ne parvenait pas à résoudre, malgré son génie scientifique et sa rapidité de déduction. Il fallait dire qu’il était bien avare de paroles et d’informations en ce qui le concernait, et si la curiosité était l’un des traits de caractère premiers de la petite brunette, elle ne pourrait en savoir d’avantage sur son mentor que ce qu’il voulait bien lui dire.

Il lui arrivait de temps à autre de rencontrer ses semblables, ses « co-détenus » du Centre, comme elle s’amusait à les appeler. Elle avait vu entre autres Angelo plusieurs fois qui lui avait montré quelques passages par les voies d’aération. Et Jarod aussi, dont elle avait pu admirer l’intelligence. Il était l’une des rares personnes plus douées qu’elle, et cela forçait son respect. Ils avaient travaillé ensemble à plusieurs reprises sur des projets. Kassy aimait beaucoup quand Stanley la faisait travailler avec d’autres personnes comme elle, elle avait ainsi l’impression de retrouver une vie sociale se rapprochant de celle qu’elle avait à l’école. Bien sûr, c’était différent, le niveau était autrement plus élevé, mais la jeune fille adorait les défis. Et le plus grand de tous, celui qu’elle s’était elle-même fixé dès son premier jour au Centre : s’enfuir.

Au fil des années, la petite brune avait échafaudé mentalement plusieurs dizaines de plans d’évasion, mais il arrivait bien souvent qu’elle ne remarque des failles peu avant de les mettre à exécution, ce qui la désespérait, un temps assez court en général, avant de se remettre à cogiter.
Une nuit, toutes les alarmes se mirent en marche dans un bruit assourdissant. Que se passait-il ? Quelque chose de grave sans doute, à en juger par le remue-ménage que l’on entendait dans le couloir. Kassandra tournait en rond dans sa cellule, ses mains bouchant ses oreilles, se demandant ce qui avait bien pu déclencher ce vacarme. Quelques heures plus tard, elle apprit que deux caméléons s’étaient enfuis. L’un d’eux était Jarod. A la fois envieuse, admirative et en colère, Kassy n’en croyait pas ses oreilles. Il l’avait fait, il avait réalisé l’impossible : s’échapper du Centre. Mais il l’avait fait sans elle. Il avait préféré faire sortir un autre camarade. En plus, à présent, la sécurité serait renforcée, les plans de Kassandra seraient donc plus difficiles à exécuter. Il faudrait alors ne pas faire de vagues, être docile encore quelques mois avant de tenter sa chance à son tour. Quelle chance il avait, quand même, ce Jarod. Il respirait l’air extérieur, il était libre ! Kassandra était déterminée, plus que jamais, ça lui arriverait aussi ! Hors de question de continuer à croupir ici.

Le grand jour arriva, ou plutôt la nuit. Le plan mûri, peaufiné, modifié, repensé des centaines et des centaines de fois, était enfin parfait. Après moult péripéties dans les dédales de couloirs qu’elle n’avait jamais empruntés, seulement vu sur des cartes dérobées ou observées et photographiées visuellement, courant comme si sa vie en dépendait –quel doux euphémisme-, la jeune femme qu’elle était devenue aperçut enfin la lueur des lampadaires à l’extérieur. Son cœur battait plus fort et plus vite que jamais. Ca y est, elle y était, elle pouvait sentir l’air frais de la nuit pour la première fois depuis vingt-quatre ans. Une légère brise fouettait son visage, ébouriffant quelque peu ses cheveux, et Kassy eut l’impression que c’était la chose la plus agréable qu’elle n’ait jamais ressentie. Elle pouvait enfin voir pour de vrai la lumière de la lune et des étoiles, et même si cette vision était quelque peu saccadée par les pas rapides de sa course, c’était tout de même magnifique. Elle n’en gardait pas moins à l’esprit la petite cavalerie à ses trousses, composée d’une poignée d’agents de sécurité qui sans doute passeraient un sale quart d’heure s’ils la laissaient s’échapper. Mais l’heure n’était pas à la compassion pour ces gens qui n’en avaient aucune pour elle. Elle n’avait pas le choix, si elle voulait que sa vie lui appartienne, il fallait fuir. Non, elle n’y retournerait pas, du moins pas sans se battre. Aussi agile qu’une panthère, Kassandra disparut dans la nuit, ses pas étant presqu’aussi rapides que son rythme cardiaque.

Cachée derrière un tronc d’arbre en bordure de route, le cœur battant la chamade et le souffle court, elle se surprit à avoir une petite pensée pour Stan. Il serait sans doute triste et déçu qu’elle se soit enfuie. Mais après plus de vingt ans passés au service du Centre, Kassy avait le rêve fou de vivre sa propre vie, et non celle des autres au travers des simulations. Stanley disait que son travail était bénéfique, qu’il aidait à sauver des personnes, mais pourquoi ne pourrait-elle pas le faire depuis l’extérieur ?
Le bruit d’un moteur de voiture se fit entendre. Pour avoir travaillé un nombre incalculable de fois sur des prototypes d’engins bien différents, elle était capable de reconnaître au son du moteur qu’il s’agissait là un véhicule assez lourd, du moins plus gros qu’une voiture citadine. Un pick-up dont elle ne parvenait pas à distinguer la couleur, avançait à faible allure. Aucun doute, ce n’était pas une voiture de l’un des employés du Centre. N’osant malgré tout pas se mettre au milieu de la route pour lui faire signe de s’arrêter, Kassy opta pour la solution discrétion : grimper à l’arrière du pick-up quand celui-ci passerait à proximité. Elle ignorait pourquoi le conducteur roulait aussi lentement, peut-être était-il fatigué, ou soul, ou perdu, peu importe, mais elle l’en remercia intérieurement. Avec un peu de chance, l’individu se rendrait assez loin du Centre. Une fois à bord, après être montée sans bruit, elle trouva une épaisse couverture roulée en boule, et se cacha dessous, espérant ne pas être repérée trop vite. Mais au vu de sa petite taille et la pénombre inhérente à la nuit, une fois allongée sous le tissu, l’affaire était réglée : elle se fondait parfaitement dans le petit décor que composait l’arrière du pick-up. Dissimulée sous cette couverture, le chemin lui parut interminable, si bien qu’elle finit par s’endormir…
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Message# Sujet: Re: "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.”   "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Icon_minitime1Jeu 9 Mar - 20:58

    Bon bah bienvenu toi ! Désolé te t'avoir ... laissé tomber. J'espère que tu ne m'en tiendras pas trop rigueur à l'avenir !


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Message# Sujet: Re: "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.”   "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Icon_minitime1Jeu 9 Mar - 21:04

Je pense qu'après une petite explication, tout sera oublié. Faut voir.



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Message# Sujet: Re: "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.”   "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Icon_minitime1Jeu 9 Mar - 23:54

    Mouais mouais c'est ce qu'on dit


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Message# Sujet: Re: "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.”   "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Icon_minitime1Jeu 9 Mar - 23:58

Sois gentil au lieu de la ramener :P



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Message# Sujet: Re: "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.”   "“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Icon_minitime1

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