Steve Frey42 ans ○ né à New-York ○ Inspecteur de police ○ Officiellement divorcé ○ HétéroHistoireSteve Frey est né le 1er août 1978 à New-York d'une mère institutrice, Sharon, et d'un père épicier, Eugene Frey. Sa famille il l'a toujours aimée même si de nombreuses périodes l'ont vu manquer de respect à ceux qui donnaient tout pour qu'il réussisse et cela était passé par leur installation dans le quartier qui avait vu grandir sa mère : le Little Italy du Bronx. Ce n'était pas le quartier le plus huppé et ce n'était pas l'un des pires où les drogues, la violence et la misère régnaient en maîtresses, c'était un lieu où tout le monde se connaissait, s'invitait sans prise de tête, où les anciens écoutaient les matches à la radio en étant assis sur une chaise pliable à l'ombre des immeubles, où Steve pu connaître un cadre rassurant et débrouillard à la fois. Il n'était pas rare de le voir aider son père à l'épicerie pour emballer les courses des clients, d'aller transmettre des messages entre bars différents pour recevoir quelques pièces qu'il allait tout de suite dépenser en confiserie ou en jeux d'arcades devant un des meilleurs joueurs de Space Invaders de l'arcade à quelques blocs du quartier.
A mesure des années Steve est devenu moins patient et plus porté sur l'aventure que sur les études, bien que par l'opération du Saint-Esprit il arrivait toujours à retomber sur ses pieds et s'en tirait toujours avec la moyenne. En cela, son père se montrait régulièrement excédé par le comportement de son fils qui "gâchait son potentiel" et cela ne s'arrangea à son entrée au lycée : il trouva LE camarade parfait, le complice de méfaits, son meilleur ami en la personne d'Andrew Washington. Durant toute leur scolarité ils ont été inséparables, commettant de nombreuses bêtises, blagues de mauvais et allant même jusqu'à enfreindre quelques lois. Même si ce n'était pas le mieux pour son futur, Steve appréciait ces moments passés avec son ami et pour rien au monde il n'aurait voulu changer cela. Désireux cependant de faire honneur à ses parents il tâcha de donner son meilleur à chaque examen afin de pouvoir entrer à l'université et cela paya lorsqu'il fut accepté à l'université publique de New-York où il décida d'entrer dans la filière juridique. Il avait pu en voir des policiers dans sa vie, en avoir fuit quelques uns après des tags et autres actions peu recommandables, il avait envie de protéger les autres et de montrer que la loi il pouvait l'appliquer et la faire respecter et cela passait d'abord par l'école de droit.
Ce fut l'année de ses vingt ans qu'il rencontra celle qui deviendrait sa femme et cela lui donna une motivation supplémentaire pour réussir, s'attelant à travailler ardemment. Il obtint son Bachelor's degree parmi les meilleurs élèves de sa promotion, une première pour lui, et il s'inscrivit sans tarder à l'école de police. De longs et intenses mois de formation le virent devenir plus sérieux, bien que son âme de bout-en-train pouvait encore ressortir, et lorsqu'il pu enfin entrer dans la police de New-York il se sentit fier de son travail.
Les premiers mois furent difficiles avec la masse d'habitudes à connaître, les éléments à apprendre pour mieux cerner les habitant et les collègues, après tout il n'était qu'un rookie qui devait tout apprendre de la vie, tout en gérant la naissance de Victoria. Ce n'était pas aisé d'être jeune policier et d'être père mais il se débrouilla pour trouver les ressources nécessaires dans son esprit et s'entourer de proches amis pour gérer. Ce fut quelques jours après le deuxième anniversaire de Victoria que cette routine bien huilée se brisa, pour le laisser dans le désarroi, la colère liée à la situation et son désir de ne pas faire tout capoter au travail. Il savait qu'il devait attendre quelques années avant de demander sa mutation mais il y avait là un cas de force majeure et avec Amanda il avait trouvé une petite ville dans le Delaware où Vicky pourrait grandir à l'écart des pollutions sonores, visuelles et atmosphériques de New-York. Il prit son courage à deux mains, après tout la santé de sa petite fille était en jeu et il se devait de la protéger, et alla voir son capitaine...
Lien vers la ficheLiens recherchés * amis * ennemis * alliés dans sa recherche d'informations sur le Centre * indics Liste des rps
InformationsCaractère : Père aimant, protecteur, bout-en-train, prudent, tenace, intègre. Anecdotes : Victoria, sa fille de dix-huit ans, est atteinte de xeroderma pigmentosum qui lui cause de sévère lésions cutanée et oculaire à la moindre exposition aux UV, ce qui demande de lourds traitements et des photo-protections pour empêcher le moindre rayon UV d'atteindre la pea. # Depuis cinq ans il fait partie d'un club d'improvisation, ce qui -en plus des séances aux AA- l'a beaucoup aidé à ne plus consommer d'alcool : il est sobre depuis six ans et demi. # Afin de s'aider à ne plus fumer, il garde toujours sur lui une boîte de chewing-gum. # Il a un tatouage commun avec Andrew fait lors d'une soirée beuverie au cours de laquelle il s'est passé bien des choses entre les deux hommes. # Bien qu'étant officiellement divorcé il a fait le choix de continuer à vivre sous le même que son ex-femme pour que leur fille puisse les voir tous les jours sans devoir se déplacer. # Il garde toujours deux lettres dans son porte-feuille : l'une adressée à sa fille et l'autre adressée à son ex-femme. Ces lettres ne sont pas destinées à être lues par les intéressées mais elles sont pour lui s'il venait à se perdre dans son rôle de Steve Frey.En savoir plus▲▼:copyright: CRIMSON DAY
Dernière édition par Steve Frey le Sam 1 Aoû - 18:27, édité 1 fois
Le titre qui te fait plaiz'Mlle ParkerIntitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.Si vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.Andrew WashingtonMeilleur amiJames MacCoyIntitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.Si vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.Sean O'HareIntitulé du lienPrénom NomIntitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. 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+ Mlle Parker - La Boss (à définir) Andrew Washington - Meilleur ami James McCoy - Collègue
Dernière édition par Steve Frey le Sam 1 Aoû - 21:12, édité 2 fois
Hello :D je me propose en lien :) alors si tu enquête sur le Centre sache que je suis un caméléon évadé lorsque j'étais enfant. Et aujourd'hui je suis infiltré au Centre pour tenter d'aider Jarod et surtout les autres caméléons encore prisonnier. Mon rêve : Faire une fois pour toute tomber le Centre !
toi je t'adore déjà on pourrait donc s'aider mutuellement : Steve a besoin d'info pour pouvoir faire pression sur le Centre en cas de besoin pour sa fille et Sean veut faire tomber le Centre. y'a de quoi bien s'entendre au vu de la personnalité franchement sympathique de Sean et puis qui sait, s'ils s'entendent bien ils pourraient même devenir amis !
Amis ou plus oui bien sur il sera ravi de trouver une aide extérieur. Surtout un flic. Du coup Sean pourrait découvrir que tu fouine par hasard alors qu'il fouine lui même mdr et du coup il viens vers toi et t'offre son aide ?